1.
Nous reparlons de ces caresses des oiseaux de mes mains tendres
Sur le fleuve de ta peau CELA ressemble au Poème à
Faire de l'Amour à vivre la Vie délivrée des
Spaghettis frétillant dans leur casserole et réclamant l'huile de notre
Présence. Tes seins sont des arc-en-ciels de pureté aveuglante
Aux cieux des marécages de mon âme et je jouis à
La pluie de tes désirs ; neige au plaisir des flocons ardents.
Mozart, certains dimanches est une voûte pluvieuse de grooves célestes
Mozart, certains dimanches est une voûte pluvieuse de grooves célestes
Mais NOUS sommes au gris d'ardoise des jeudis sans lumière.
Je te baise doucement en mode mineur mais selon ton choix
CELA peux se chanter, se danser en majeur puis la Tarentule !
En 11 vers arithmonyques de 11.
2.
Je t'incendie du Grand Tout-partout de ma Picardie des crétins
De mon Pays des briques feux et sans Roi. De la cité
Aux murailles de la Scarpe, une barque d'avance jusqu'à La
Mer du Nord puis si elle vient par ton canal, je frappe
À ta vitre. Je te dénude blues à l'os du secret.
Au silence des froissements des flammes, nos étreintes NOUS les déplumons tendrement
Des interdits des bouts de nos doigts puis à l'OR , là !
Permanence de nos jouissances... Uhmmmmmm... de l'UNION de la mer et
Du vents. Nous reparlons de ces coïts des bêtes de nos sexes
Dans la voie lactée de tes yeux et à la bouche humide
Du Poème de Faire de l'Amour l'autre chose qu'un
Plat de Spaghettis ou de coucous mal cuisiné au siroco pornographiques des blattes.
En 12 vers arithmonyques de 12
Christian-Edziré Déquesnes,
le 14.06.2018, en Dwai.
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